À propos de la pièce symphonique « Hantise »

« Tout au long de cette pièce, une vraie interrogation demeure et hante l’œuvre : où aller ? Dans quelle direction errer ? Émergeant d’un roulement de timbales à peine perceptible, un motif aux altos va guider la première partie, très torturée, bientôt rejointe par une mélodie dans le grave de l’orchestre qui va petit à petit prendre le dessus et emmener l’orchestre dans un grand crescendo.
L’ensemble tient sur de larges masses orchestrales, de grands accords tenus dans les vents et particulièrement les cuivres, qui donnent donc une profondeur à la pièce. Un motif en doubles croches obsessionnel et mystérieux apparait assez vite dans les violons et viendra perdurer jusqu’à la dernière seconde, comme une sorte de cauchemar permanent, une pensée infernale qui rôde toujours, sachant se faire oublier mais restant là, occupant l’espace et la pensée. »
Simon Proust, directeur de l’ensemble symphonique Cartésixte.

« This work has a very, very high level… and there is a subliminal underground of B. Smetana « Mà Vlast » (Die Moldau), but this work has an enormous wind, a « Mahlerian » conception ».
Francesco Lotoro, pianiste & compositeur italien, interprète des Nocturnes en avril 2014 à l’Institut Culturel Italien de New-York, partenaire de l’Encyclopédie de la musique créée en captivité : Thesaurus Musicae Concentrationariae, à être publiée en janvier 2015, à l’occasion du 70ème anniversaire de la fin de la 2nde guerre mondiale.

 

À propos de son disque

« Et moi qui croyais que j’étais le seul « auteur à la hauteur » !… J’en connais un autre maintenant : Max de Foucaud !… »
Maurice Baquet, acteur-violoncelliste-alpiniste (qui interpréta pour la 1ère fois les oeuvres de Max de Foucaud, en jouant les pièces pour violoncelles à Chamonix en 1980).

« J’ai été très intéressé par vos compositions pleines de qualités et j’ai beaucoup d’admiration devant les dons exceptionnels qui vous ont permis de faire de grandes études et d’arriver en même temps à un niveau musical surprenant qui promettait beaucoup. »
Louis Bessières, auteur-compositeur (qui interpréta avec Maurice Baquet les « petites pièces » pour violoncelle et orgue).

« J’ai écouté, avec beaucoup d’émotion, le travail de votre père. Et je l’écouterai encore. Il y a des couleurs, des mouvements, des ruptures, saisissants. Je garde précieusement ce CD, en vous remerciant de me l’avoir fait parvenir, et en me disant que, peut-être, un jour, son contenu me servira pour accompagner des images. »
Patrice Leconte, cinéaste.

« J’ai été très touchée de découvrir cette musique pétillante, romantique, inspirée, et d’apprendre qu’elle a été composée par ton père. Quelle émotion, quelle histoire magnifique… J’ai été très émue… Décidément tu es l’homme artiste aux 1000 surprises et 1000 secrets. »
Arielle Dombasle, actrice.

« Après une première écoute, solitaire et recueillie, je me suis livrée – comme après avoir vu pour la première fois un nouveau-né – au petit jeu stupide des ressemblances. J’ai trouvé Mahler, puis Rachmaninov, et « l’esprit » en étant décidément français… pourquoi pas Saint-Saëns ou Ravel ! Balivernes après plusieurs autres écoutes, je me suis rendue à l’évidence : c’était du Foucaud et c’était très bien. »
Sylvaine de Monteynard